Non il ne s'agit pas de la photo d'un caméscope, mais d'un dessin rappelant un camécospe (ce n'est pas la reproduction exacte) que d'ailleurs j'ai toujours.
Désolé pour toi.
Et si tu approfondis davantage, tu verras sur le site quelques rares photos dont je ne suis pas l'auteur, mais avec la mention "Image via Wikipedia"
Cordialement
Jipet
PS : s'il faut une autorisation pour photographier la Tour Eiffel quand elle est illuminée, rien n'interdit de la dessiner.
Je viens de lire votre tuto et il y a un point qui me chiffonne.
Vous dites: "Pour une diffusion publique y compris sur Internet : sites de
partage (Youtube, Viméo, Dailymotion …) réseaux sociaux (Facebook, Twitter ….), Magix Info (Présenter et
discuter) etc. une déclaration préalabre auprès de la SACEM est nécessaire pour s'acquitter des droits."
Or il s'avère que j'ai une connaissance qui a créé une page facebook (et ce n'est pas la seule du genre) ou chacun/chacune peut mettre des liens vidéo pour faire (re)découvrir d'anciens ou récents morceaux électronique.
Certains sont uploadé par les labels et on retrouve pour la plupart dans la description de ces vidéo, des liens vers les sites de téléchargement légal (quand ce n'est pas en sous-titre dans la vidéo elle même) Mais certains sont uploadé par des internautes qui n'ont (j'en suis presque sûr) pas demandé l'autorisation aux labels ou fait une déclaration à la sacem ou autres société de droits d'auteurs.
J'ai parfois eu le cas de ne pas pouvoir visionné un de ces liens sur Youtube car le label l'avait bloqué dans mon pays (Belgique) en raison des droits d'auteurs.
Mais, à partir du moment ou je met juste un lien vers une vidéo uploadé par un autre, je suis donc complice ?
Le but de ce tutoriel est d'informer, pas de juger. De nombreux procès encombrent les tribunaux sur des affaires de ce genre.
Si la page Facebook contient des musiques issues de téléchargements illégaux, la responsabilité de l'auteur de cette page est bien entendue engagée.
J'invite donc l'auteur de cette page à prendre ses précautions. Il suffit qu'à un moment donné un auteur porte plainte et tous les problèmes s'enchaînent.
La SACEM (en France) contrôle les diverses manifestations (fêtes, mariages …) dont l'annonce est publiée dans la presse locale. J'ignore si elle utilise des moyens d'investigation sur Internet.
YouTube autorise désormais l'utilisation de pistes protégées par le droit d'auteur dans les vidéos des utilisateurs. Mais en échange, la plate-forme va placer des publicités pour rémunérer les ayants droit. Le système n'est pas neuf et n'est pas sans évoquer une licence globale privatisée.